[TEST] The Darkness

Rédigé par Nox le 22/12/10 | Classé dans : TESTS
Tags : PS3, FPS,

Starbreeze, boîte peu célèbre mais pas pour autant débutante. À l'origine du titre Riddick, fait son retour presque deux ans après pour nous offrir The Darkness, un jeu aussi sombre qu'envoûtant.

Hey Jackie !

The Darkness a l'avantage d'être basé sur un comics à succès, l'histoire de Garth Ennis. Il présente donc peu d'incoherences et les événements s'enchaînent avec facilité. Vous vous retrouvez dans la peau d'un jeune mafieux, Jackie Estacado, dont votre boss souhaite la mort (génial ! ). Mais ... le Darkness fait son entrée et vous découvrez différents pouvoirs tous aussi meurtriers les uns que les autres.

No man's land

Le jeu illustre parfaitement l'ambiance créée par Marc Silvestri : les différents lieux ont une ambiance qui leur est propre et surtout oppressante grâce au jeu de lumières, élément principal du jeu totalement maîtrisé. Mais malheureusement… le moteur graphique se fait vieux et présente des animations basiques et suscitant très peu d'émotions. Il va vous falloir vous habituer au plus vite à l'impression de désarticulation de vos ennemis que vous aurez une fois qu'ils seront morts.

Return in the past

Jackie est lent… très ... lent … il est aussi lent, voire plus lent encore qu'un Big Daddy. Pour les puristes : ses petits bonds façon danseuse de ballet vont en déranger plus d'un. Mais la prise en main se fait rapidement et on s'y adapte sans trop de difficultés. Le mode Darkness, équivalent du mode difficile, ne présente qu'un seul défaut qui est celui du contrôle de tentacule trop approximatif et donc trop frustrant. Ha! Et l'IA est complètement catastrophique…

Psychédélique

The Darkness se classe dans la moyenne de tout bon FPS, un peu plus d'une dizaine d'heures de jeu pour le terminer. Il y a bien quelques missions annexes mais on en fait tout aussi vite le tour.

Dansons sous la lune…

C'est le point quasiment parfait du jeu : le doublage des personnages est parfaitement adapté, et l'ambiance musicale générale tout au long du titre apporte un gros plus sur le rendu final du jeu.

Pix's Mark : 14/20
Le jeu est donc bourré de nombreux petits défauts, mais dispose de ses atouts, qui font que l'on a envie de continuer à y jouer et surtout d’aller jusqu’au bout et de le terminer. On peut sans doute dire que si ces défauts n'étaient pas si... ressentis tout au long du jeu, il aurait été une vraie perle! Petite larme pour le multi, qui aurait pu valoir le coup s’il avait été plus peaufiné et surtout plus fréquenté.

Pix's Mark : 14/20

Le jeu est donc bourré de nombreux petits défauts, mais dispose de ses atouts, qui font que l'on a envie de continuer à y jouer et surtout d’aller jusqu’au bout et de le terminer. On peut sans doute dire que si ces défauts n'étaient pas si... ressentis tout au long du jeu, il aurait été une vraie perle! Petite larme pour le multi, qui aurait pu valoir le coup s’il avait été plus peaufiné et surtout plus fréquenté.

Un combat sans fin contre des poupées Un multi inexistant car totalement délaissé.	Une retranscription magnifique du comics Glauque à souhait

L'avis de l'hardcoregamer: Pas trop dur, pas trop facile, mais pas inintéressant... Certes on le finit vite et l'absence de trophées/succès ne vous donne peut être pas envie d'y rejouer mais l'ambiance de ce jeu marque et une certaine envie d'y rejouer peut naître assez rapidement.

L'avis du casualgamer: Ce FPS nous plonge dans une histoire mafieuse sombre. Le comportement de vos ennemis est « mécanique »: on se cache, on tire, on se re-cache.. Mais à part ça, notre personnage semble avoir quelque chose de maléfique en lui, et ce point rend le jeu original, on a envie d'y jouer et de découvrir le terrible secret de notre héros. Et j'oubliais! Posséder un pouvoir maléfique n'a jamais empêché de faire des sauts normaux. Notre héros si...