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Il s’agit « bien sur » de Ryan :
Je mets « bien sur » entre guillemets puisque j’imagine que la plupart d’entre vous ne connait pas ce petit bonhomme. Ryan (ou Rion dans les versions non francophones) est le héros des jeux Galerians. Cette courte série est composée de deux volets : Galerians (PS1) et Galerians : ASH (PS2). Ces jeux ne sont pas restés l’histoire, mais ils ont pourtant marqué les esprits des joueurs qui ont eu la chance de s’y essayer. Dans un monde futuriste, deux scientifiques ont conçu une intelligence artificielle capable de s’auto-améliorer nommée Dorothy. Son développement rapide était une satisfaction, jusqu’à ce qu’elle vienne à se poser une question fondamentale : pourquoi devrait-elle obéir aux humains et les aider à vivre, puisqu’eux mêmes s’entre-tuent ? Un des deux scientifique lui expliqua alors le concept de Dieu, et, de même que les humains doivent obéir à leur créateur (Dieu), Dorothy doit obéir aux humains.
Dorothy a cependant compris cette explication d’une manière assez particulière. Elle entreprend de devenir elle-même Dieu, en créant une nouvelle race d’êtres humains supérieurs, les Galerians. Elle parvient à son objectif en ouvrant le Programme Famille, qui consiste à modifier génétiquement des enfants afin qu’ils développent des pouvoirs psychiques. Les deux scientifiques avaient prévu, en cas de problème, un virus permettant de détruire Dorothy. Sauf que, malins comme ils sont, ils l’ont placé dans l’esprit de la fille de l’un, et la clé d’activation de le cerveau du fils de l’autre… Vous incarnez le fils en question, Rion Steiner, se réveillant dans un hôpital avec la voix de la fille-virus, Lilia Pascalle, l’appelant à son secours. C’est avec un mal de crâne carabiné et une furieuse tendance à abuser de la pyrokinésie et de la technique dite de Ken le Survivant (faire exploser les têtes) que vous quittez l’hôpital à la recherche de la jeune Lilia.
Ce jeu m’a laissé un fort souvenir pour plusieurs raisons. Premièrement, la voix de Lilia murmurant « Ryan » dans l’esprit du héros (à 3:28 dans cette vidéo). Je ne sais pas pourquoi, mais cette petite voix m’a marqué, tout comme mon frère qui, dès que le nom de Galerians est évoqué, s’empresse de chuchoter « Ryan« . Deusio, l’univers à la Akira, et le scénario bien ficelé, avec des personnages bien foutus, du taré sanguinaire au schizophrène apeuré/sadique. Tertio, un gameplay … comment dire … approximatif… Dans le même style que les premiers Resident Evil, le personnage ne se dirige pas par rapport à la caméra, mais par rapport à lui-même, ce qui induit une rigidité fort désagréable quand vous êtes face à plusieurs ennemis armés, obligé de fuir. Mais le gameplay avait aussi quelques très bons aspects, notamment le système de combat. Ryan dispose de différents pouvoirs (pyrokinésie, onde de choc…), et il peut changer de capacité en ingurgitant des médicaments (plutôt des drogues en fait…). L’utilisation des pouvoirs ainsi que le fait de prendre des dégâts fait croître une jauge qui, lorsqu’elle est remplie, vous fait entrer en mode berserk (qui consiste en un explosage de tronches à gogo).
Je vais m’arrêter là (c’est déjà une bonne tartine quand même ). Je vous conseille fortement de jouer à Galerians, malgré ses défauts de gameplay, pour son univers et son histoire remarquable, que ce soit sur une vieille console poussiéreuse ou sur émulateur ! Sachez également qu’un OAV en images de synthèse retraçant l’histoire du premier jeu est facilement trouvable en streaming sous le nom Galerians Rion.
]]>Aujourd’hui, on recommence à vous parler jeux-vidéo, et pas avec n’importe quoi vu que c’est sur Guild Wars 2 que l’on va s’attarder. Car par le biais de NCSoft et ArenaNet, nous avons eu la chance d’assister à la présentation du nouveau MMO en passe de détrôner le joujou de Blizzard. Très malheureusement, le matériel n’était alors pas en fonction durant notre session, merci pour ça au routeur de l’hôtel où nous nous trouvions, les belles tours ne nous ont donc fait que de l’œil, vu que visiblement, nous n’avions en plus pas à faire à des petits pc de bureau lambda, mais bien à de véritables machines de guerrs. Mais cela n’est qu’un petit détail vu que la plupart d’entre nous avions déjà eu la chance de disposer d’une copie du jeu afin de vous en parler au plus vite. Chose qui me permettra de vous offrir la seconde partie de cette article.
En revanche, nous avons eu le droit à une véritable présentation du jeu, mettant à la lumière du jour de nombreux systèmes plus ou moins évidents, et d’autres bien plus singuliers, apportant beaucoup à l’expérience en jeu. L’élément le plus intéressant de cette présentation fut la description en détail du fonctionnement des événements dynamiques. Pour simplifier la chose, il s’agit là d’événements apparaissant ponctuellement sur votre serveur, et ce de manière totalement autonome. Vous n’influez quasiment pas dans leurs créations, mais votre rôle est majeur dans leur achèvement. Ces derniers peuvent prendre divers formes : assaut d’un point stratégique, ennemis inhabituels faisant leur entrée, protection des citoyens, j’en passe et des meilleurs. Ceux ayant déjà eu l’occasion de tâter de la bête si seront déjà frotté sans nul doute, ceux-ci foisonnant sur les maps par-ci et par-là, mais les systèmes qu’ils impliquent ne sont pas forcément aussi évidents.
Dans un premier temps, leurs difficultés sont variables, bien sûr par le biais du niveau mais aussi en fonction du nombre de joueurs prenant part à cet événement. Plus vous serez nombreux, plus le serveur augmentera la difficulté de la mission. L’autre facette, c’est qu’ils peuvent avoir un rôle à long terme, un événement se succédant par un autre, et ainsi de suite, en fonction de votre réussite, ou de votre échec. Il fut aussi question de la diversité du gameplay, possibilité d’orienter constamment vos personnages en fonction de vos envies, ne pas rester bloquer au sein d’une classe. L’intérêt du World vs World, octroyant des avantages consistants à vos serveurs si ils se trouvent en bonnes positions, toutes les deux semaines, vous vous retrouverez face à deux nouveau serveurs, ayant eu des résultats semblables aux vôtres, et ainsi de suite. En bref, Guild Wars 2 se place, il semblerait, tel un véritable concurrent et non une copie bête et méchante de ce que fut le premier du nom, proposant un gameplay riche un diversifié, de nouveau mis en avant par l’absence d’abonnement quelconque.
Il est temps de vous parler un peu de ce que vaut le jeu après quelques heures – plutôt quelques dizaine en fait – de jeu. Pour faire simple, pour un joueur comme moi, peu habitué au genre du MMORPG, soucieux de finir un jeu dans ses moindres détails, Guild Wars 2 se pose actuellement comme une très belle surprise. Outre un monde réelement dynamique, le jeu propose une ambiance particulière. Pour faire la comparaison, pendant un moment j’ai voulu jouer sur World of Warcraft, dans ce dernier un fait se posait comme tel : tu joues tout seul ? Ne compte pas avoir l’aide de quiconque. Point. Alors oui, le principe du MMO est de jouer avec du monde, sinon on se retrouve face à un RPG finalement, mais pour quelqu’un comme moi, qui ne passe pas assez de temps devant ce genre de jeux pour rentrer dans une guilde ou autres, Guild Wars 2 offre une solution plus qu’intéressante. Guild Wars 2 devient un monde d’utilitaristes, aide ton prochain, et il te sera donné de l’xp. Là est le concept de base. Mais à la grande différence de bien d’autres jeux, une distribution des loots plus stratégiques, les événements dynamiques, ou encore les ennemis un poil trop puissants, font que la jouabilité, même avec des gens que vous ne connaissez pas, parfois pour le temps d’une quête, se fait avec la plus grande facilité. Il est par contre tout à fait clair que le principe des quêtes à répétitions pour un powerleveling concluant, garde ses racines bien ancrées dans le genre.
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En effet, Sony agrandi la famille Playstation, en accueillant les constructeurs ASUS et Wikipad au sein du programme Playstation Mobile. Cette certification permet aux appareils concernés d’avoir accès au store Playstation afin d’accéder à de nombreux contenus exclusifs, notamment des jeux Playstation (la console) émulés par le logiciel. Ces deux constructeurs rejoignent donc HTC avec sa gamme One (V, S et X), ainsi que les derniers appareils Sony (les derniers téléphones Xperia, les tablettes et la Playstation Vita). Le ralliement de ASUS est particulièrement intéressant, puisque ce dernier fabriquera la future tablette de Google, la Nexus 7, dont le processeur nVidia Tegra 3 permettra probablement de faire tourner pas mal de jeux plutôt gourmands !
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Il s’agit bien sûr des Moogles :
Race mascotte de la série Final Fantasy, les Moogles (ou Mogs dans la langue de Molière) sont de petits êtres qui jouent un rôle différent selon l’épisode de la saga. Ils tirent leur nom du japonais Moguri, qui est en fait un regroupement des mots mogura (taupe) et komori (chauve-souris). Les Moogles sont donc moitié taupe, moitié chauve-souris. Cependant, il y a eu une scission dans leur design, avec la création de l’univers Ivalice dans la série FF. Dans ce dernier, les Moogles se sont lapinisés, gagnant par la même occasion plusieurs centimètres.
Maintenant qu’on a abordé la forme, parlons du fond ! A quoi peuvent bien servir ces petites boules de poils à pompon rouge ? A pas mal de choses différentes, figurez-vous. Dans leur première apparition (Final Fantasy III), ils étaient de puissants magiciens employés en tant que gardes du corps. Mais au fil des épisodes, leur espèce a gagné d’autres capacités. On les rencontre en tant que facteurs dans plusieurs épisodes, ou encore ingénieurs (FF XII et FF Tactics Advance). Ils endossent même le prestigieux rôle de point de sauvegarde dans Final Fantasy IX !
Les Moogles ont également la particularité de ponctuer leurs phrases par « kupo », ce qui peut être mignon pour certains, et très énervant pour d’autres. Petite anecdote rigolote : à l’origine, dans Final Fantasy III, ils ne disaient pas « kupo », mais « nyaa », qui est l’équivalent japonais de « miaou ». Ce qui paraît tout à fait logique quand on sait que les Mogs sont des taupes–chauve-souris…
Bref, les Moogles font partie intégrante de l’univers Final Fantasy, mais aussi plus largement de l’univers de Square Enix, et ils ont d’ailleurs été choisis pour apparaître sur le logo des 25 ans de FF !
Il s’agit bien sûr de Nemesis :
Apparu pour la première dans le troisième opus de la série Resident Evil, intelligemment nommé Resident Evil 3 : Nemesis, il est l’un des plus célèbres méchants de l’histoire du jeu-vidéo. De son nom complet Nemesis T-Type, il est le grand méchant du jeu, poursuivant inlassablement Jill Valentine (vous) ainsi que tous les autres membres du S.T.A.R.S. (Special Tactics And Rescue Service). Il a été créé à Paris par la division européenne de Umbrella, la multinationale pharmaceutique ayant développé les virus responsables de la zombification des habitants de Racoon City, la ville où se déroule le jeu. Nemesis est une amélioration des Tyrants, des monstres créés grâce au virus T de Umbrella. Contrairement à ces derniers, il conserve une certaine intelligence qui lui permet d’obéir à des ordres, de manier des armes (son petit préféré étant un lance-roquettes FIM-92 Stinger), ou encore de parler, bien que la seule chose qu’il dise durant tout le jeu soit « STARS, aaaaaaarghhhhhhhh !!!!!! ».
En plus de son physique fort attrayant, Nemesis avait toutes les cartes en main pour plaire au public. Sa ténacité dans l’accomplissement de sa mission fascinerait n’importe quel joueur, et ses très nombreuses apparitions permettaient de créer une certaine angoisse dans le déroulement du jeu. On s’attendait à le revoir à chaque instant et à devoir fuir, puisqu’aucune arme ne semblait lui infliger de véritables dégâts. Après plusieurs confrontations, Jill finit par vaincre le bougre une première fois (et quand je dis vaincre, je veux dire qu’elle réussit à brûler son manteau, pas de quoi sortir le champagne…), ce qui révélera sa deuxième forme : la même chose mais torse nu et avec plein de tentacules qui font peur. Après une seconde grosse victoire de Jill (et par victoire, je veux cette fois-ci dire arrosage de produits chimiques et abandon du cadavre dans une cuve d’acide), Nemesis réapparaîtra sous sa forme finale : un gros truc bien dégueulasse, toujours plein de tentacules, mais qui a perdu pas mal de charisme, soyons honnêtes.
Bref, Nemesis était vraiment un ennemi hors du commun, que ce soit pour son manteau de violeur, ses dialogues (enfin son unique phrase, qui est culte pour moi) ou son lance-roquettes. Mais c’est surtout son acharnement dans la vendetta qu’il mène contre les membres du S.T.A.R.S., qui justifie par ailleurs son nom, celui de la déesse de la juste colère divine dans la mythologie grecque, bien que le côté « juste » de cette vendetta reste à déterminer dans ce cas…
Voila, c’est tout pour cette semaine. Pour compenser Nemesis, je m’attaquerais à un perso mignon la semaine prochaine !
]]>Il s’agit bien sûr de Max Payne :
Max est un jeune détective de la police de New-York qui mène une vie tout à fait normale, avec son épouse Michelle et sa fille tout juste née Rose, un « rêve américain » comme il le dit lui même. Jusqu’au jour où, rentrant chez lui, Max trouve des hommes armés chez lui, qu’il abat avant de découvrir les corps sans vie de sa famille. Atteint au plus profond de lui-même par ces pertes, il rejoint la DEA (Drug Enforcement Administration, les stups quoi) afin de démanteler le réseau ayant fourni en valkyr, une nouvelle drogue, les assassins de sa famille. Trois années plus tard, Max infiltre le gang responsable de ce trafic. Après plusieurs mois d’investigation, il est pris dans une embuscade avec son contact qui ne survivra pas au piège, contrairement à Max, qui sera accusé de meurtre. Une chasse à l’homme débute alors, mais rien n’arrêtera Max dans sa vendetta contre la valkyr et ses créateurs.
Je n’irai pas plus loin sur le scénario des jeux, ce serait criminel de ma part de vous priver des bijoux que sont les trois jeux Max Payne. On va plutôt parler de l’homme, et en même temps, c’est le principe vous me direz ! Max Payne, c’est le jeu vidéo noir par excellence. Et Max est un véritable anti-héros. Il ne se bat pas pour la veuve et l’orphelin, mais uniquement pour venger la mort de sa famille. Max Payne, c’est l’histoire d’une descente aux Enfers, d’un homme à qui tout souriait et qui, en une soirée, va basculer dans la solitude et la haine, n’ayant pour unique but dans la vie que la mort. Ces années de dépression vont le faire plonger dans l’alcool et l’addiction aux analgésiques, et cela bien avant Dr House ! Ses tribulations l’obligeront à démissionner des forces de l’ordre newyorkaises et sa rencontre avec Raul Passos le mènera à São Paulo, dans une nouvelle carrière de garde du corps alcoolique : bienvenue dans Max Payne 3 !
Le succès des jeux et l’univers noir de Max Payne ont conduit la Twentieth Century Fox a commander un film, réalisé par John Moore (En territoire ennemi, le prochain Die Hard). Mark Wahlberg y campe le rôle de Max, dans un film franchement pas mémorable. Le scénario du jeu est malmené de bout en bout et la performance de Walhberg laisse à désirer (pour être poli). Ils auraient mieux fait de garder le modèle original de Max Payne 2, Timothy Gibbs… Un film a oublié en somme, un peu comme l’adaptation cinématographique de Hitman.
Pour finir ce perso de la semaine, je ne pouvais pas passer à côté de l’occasion de vous livrer quelques citations de notre cher Max, grand orateur qui ponctue ses aventures de nombreuses phrases cultes. Et en VO s’il vous plait !
Je m’arrête là, sinon, on est parti pour mettre le script complet des 3 jeux dans cet article. Bref, je vous conseille vivement de vous procurer Max Payne 3 et d’y jouer au plus vite ! A la semaine prochaine pour un nouveau perso de la semaine !
]]>Nous vous en parlions il n’y a pas longtemps, Naugthy Dog s’attaque à son tour à l’écriture d’un jeu post-apocalyptique. Si The Last of Us restait assez mystérieux jusqu’à aujourd’hui et ne nous montrait que le coté « méchant zombie » de l’histoire, en soit rien de bien neuf à nous mettre sous la dent.
Mais voilà que son nouveau trailer arrive, tout aussi magnifique, ce dernier nous confirme de nouveau l’aspect technique du soft, mais nous en dit un peu plus sur le gameplay: si la mort est à redouter, c’est surtout du coté des vivants qu’il faudra s’inquiéter. Dans ce trailer c’est à un groupe organisé contre lequel nous avons à faire, groupe dont le piège sera vite décelé par Joel qui semble nous réserver encore quelques surprises sur son histoire.
Plus de détails à l’E3…
Oui, l’écran 3D Playstation arrive enfin, pour ceux qui seraient passés à coté de cette technologie qui n’annonce que du bon pour nous autres gamers de la vielle époque, quelques infos: l’accessoire d’abord, l’utilisation de la 3D, oui, ce n’est ici pas l’élément le plus important de cet écran, surtout au vu de la taille (24 pouces), même si on pourra en revanche saluer son prix accessible, de préférence 499€ avec 2 paires de lunettes et les jeux Killzone 3 et Gran Turismo 5 fournis.
Alors quel est l’élément qui rend cet écran indispensable pour un gamer? Et bien il s’agit de sa technologie SimulView, qui permet à deux joueurs, de regarder le même écran… et de voir deux vues différentes! Vous avez dit enfant de l’écran partagé? Et bien oui, si cette technologie (ou semblable à cette dernière chez la concurrence), venait à être démocratisée, cela donnerait peut être envie aux éditeurs de demander à leurs dev de se pencher sur un vrai co-op comme à l’ancienne.
Avec cette MAJ, mes pensées se tournent directement vers l’un de nos rédacteurs et webmaster : Whinze, même si ce dernier aux dernières nouvelles ne possédait pas de PS3, le simple fait que Deus Ex arrive sur la console de SONY devrait le ravir. Cette arrivée va permettre aux plus jeunes ou aux nostalgiques (10€ le jeu) de (re-)découvrir ce monument.
Pour les autres, c’est l’arrivée du dernier lot d’addons pour FFXIII-2, si je n’ai pas eu le temps de m’y pencher pour l’instant, j’espère juste y voir la vraie fin du jeu, pour remédier à l’actuelle arnaque d’un jeu pas si mal que ça.
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