?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?> PixAgain » PARIS GAMES WEEK http://pixagain.org Critiques, Tests, Avis, Dossiers, Previews... Mon, 18 Nov 2013 23:50:41 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.7.1 Paris Games Week 2012 : Conclusion /paris-games-week-2012-conclusion/ /paris-games-week-2012-conclusion/#comments Tue, 06 Nov 2012 09:00:01 +0000 /?p=7008

SLY COOPER : THIEVES IN TIME

Sly Cooper était l’un des personnages marquants de la PS2, véritable fer de lance de la console en matière de jeux de plate-forme, et depuis, le raton-laveur-voleur ne donnait simplement plus signe de vie. Le bébé cartoonesque de Sucker Punch, repris par Sanzaru Game lors de son portage sur console nouvelle génération, trouvait dans ce nouveau studio son nouvel avenir, Sucker Punch étant trop occupé à développer la franchise InFamous. Arrive alors Sly Cooper 4, sous-titré : Thieves in Time.

La démo présente sur le PGW2012, atrocement laissée de côté par les joueurs, n’était pourtant pas la moins intéressante du salon, le jeu de plate-forme a, semblerait-il, perdu ses bienfaiteurs. Et pourtant, dans cette démo où nous pouvions controler bien évidement Sly, mais aussi son ami l’hyppo Bentley, c’étaient deux différents modes de progression qui étaient mis en avant. L’un aide l’autre, permet d’ouvrir le passage, de faire avancer l’équipe en somme.

Reprenant les mêmes outils ingénueux déjà présent, le peu présenté ne pouvait pas nous en dire plus sur un gros point mystérieux du jeu : son scénario. Du peu que l’on en sait déjà, il est encore question de la disparition du Volus Ratonus, le livre sacré de Sly, la qualité du scénario reste donc encore à démontrer.


CALL OF DUTY BLACK OP : DECLASSIFIED

La saga Call of Duty, fonctionnant toujours à merveille, c’est sans étonnement que l’on a découvert l’annonce de l’arrivée d’une version PSVITA, pourquoi ne pas continuer à véroller un peu le monde du jeu-vidéo en essayant de s’imposer sur les plateformes portables ?
De toute manière la tentative est loin d’être bien convaincante. Même si le jeu tire entièrement à profit l’utilisation des deux sticks miraculeux de la console, que Nihilistic - nouveaux développeurs de cette version: Declassified - tentent de faire tout son possible pour restituer l’expérience de la version console de salon – le gameplay reste incroyablement bancal et peu convaincant. Ne pas avoir l’habitude de l’ergonomie de la console doit surement jouer contre lui dans notre cas, mais reste que sans deux gachettes supplémentaires, vos doigts vont devoir faire un peu d’exercice en se baladant sur la console.

Mais reste que le vrai problème de cette version, à moins que l’équipe de Nihilistic n’ait eu la même idée que Treyarch, à savoir engager un vrai scénariste, est que son multi, atout principal, est incroyablement limité, les parties ne pouvant contenir que 8 joueurs simultanément.


METAL GEAR RISING

S’il y a un bien un jeu sur lequel le Paris Games Week a su me raviser concernant par rapport premier avis, c’est bien celui-ci. Metal Gear Rising, malgré toute la bonne volonté d’élargir cette franchise tournant majoritairement autour de Snake, faisait pâle figure face à la prochaine sortie de la saga mère : Metal Gear Solid : Ground Zeroes, bien partie pour ré-hausser une nouvelle fois la vision de ce qui peut être fait dans l’univers du jeux-vidéo.
Metal Gear Rising lui, développé par Platinum Games, semblait bien moins ambitieux, essayant simplement de démontrer qu’il est possible d’innover au sein du beat’em all, aujourd’hui inlassable mélange de recettes déjà vues et réutillisées jusqu’à ne plus rien en laisser. Et à ma grande surprise, c’est bien le cas. Au-delà de son gameplay incroyablement instinctif et dynamique, le résultat qui en sort semble être une véritable symbiose de l’univers dont est tiré le personnage de Raiden, et le nouveau genre dans lequel il va être amené à survivre.

Tirant intégralement profit des capacités de Raiden, le studio récupère aussi les qualités déjà présentes dans Vanquish et Bayonetta telles que l’obligation de dépendre plus de l’esquive que d’un véritable système de bouclier, vous obligeant à rester constamment en mouvement.
En somme, en y mettant simplement la main, le jeu est passé de l’un des jeux les plus anecdotiques, à celui de l’un des plus attendus à venir !


DEAD SPACE 3

Enfin un petit mot plus bref sur Dead Space 3, test chrono et échange de manette oblige, expérience donc brève sur ce nouveau volet de la saga space opéra survival-horror encore digne de ce nom. Et quelle déception, même si le jeu s’avère toujours aussi stressant, aussi noir, ce furent les mêmes recettes de nouveaux appliquées, toujours la petite créature au détour d’un couloir, chutant d’un conduit, bref, du déjà vu. Tant bien que mal, le genre semble stagner, cherchant un nouveau messie pour faire de nouveau son pas en avant.

Nous n’avons en revanche pas eu la chance de mettre la main sur le mode co-op, nouvel arrivant bien plus attendu que son homologue multi déjà présent sur Dead Space 2, surement plus adapté au genre, à la fois en terme d’immersion et d’originalité.



CONCLUSION SUR LE PGW2012

Voilà qui clos cette nouvelle edition du Paris Games Week 2012, tâchons donc d’en dire un mot avant de clore cette troisième et dernière partie.
Sur nous d’abord. Avec l’édition 2011 nous avions eu l’occasion de couvrir notre premier salon, depuis, ce sont surtout de nombreux festivals que nous avons couverts, bien loin du concept vidéo-ludique de ce type de salon. Trois membres sur le salon, ce fut plus ou moins trois fois plus d’articles, même s’il manque encore quelque chose, un élèment peut être plus illustratif, interactif, pas qu’un banal résumé en somme.

Concernant le salon en lui même, petit effort, encore léger mais indéniable, pas de tapis Coca cette année, même si de nouveau les poubelles se comptaient sur les doigts de la main. Le stand de la Fnac faisait de nouveau tâche, quoi que plus petit.

Le gros soucis par contre vient de nouveau de son infrastructure, encore mal organisée, entre la guerre du son mettant à mal les plus petits studios, et la signalisation inexistants de la maturité de certains jeux - voir deux gosses de dix ans s’esclamer sur le nouveau Hitman c’est toujours dérangeant -, l’organisation reste clairement à revoir. Rien à dire sur les trophées organisés par le PGW, son gagnant : Black Ops 2, suffit à décrire la maturité et la curiosité de son public. Reste que peu à peu, il se pourrait que le salon puisse devenir un vrai salon d’exclusivité, cette année tous les éditeurs ayant répondu présents, et l’influence monstrueuse pourrait bien les faire changer d’avis.

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Paris Games Week 2012 – Quelques jeux ! /paris-games-week-2012-quelques-jeux/ /paris-games-week-2012-quelques-jeux/#comments Mon, 05 Nov 2012 15:21:53 +0000 /?p=7083 Hitman Absolution - Paris Games Week 2012
HITMAN ABSOLUTION

Ce Paris Games Week nous a permis, ou plus précisément m’a permis, de tester brièvement le prochain volet des aventures du chauve le plus célèbre du jeu vidéo, j’ai nommé l’agent 47. La démo démarrait devant le portail d’une très belle villa. C’est là qu’intervient… un mec du stand qui met le jeu en difficulté maximale. Je crois qu’il me surestime un peu, mais passons, je relève le challenge ! Me revoila donc face à cette villa.

Le didacticiel me conseillant d’entrer par les jardins situés à ma gauche, je m’éxécute sans rechigner. Après l’étranglement d’un jardinier, je découvre quelques nouvelles capacités de 47, notamment le système de couverture. Toujours guidé par le tutoriel me conseillant d’éxécuter un garde avec mon silencieux, je dégaine le fameux SilverBaller silencieux et l’abat d’une balle dans la tête. A ma grande surprise, une armée de gardes déboulent sur moi, ayant vu leur collègue prendre un pruneau devant leurs yeux. Sympa, un tuto qui fout le joueur dans la merde, on me l’avait jamais faite celle-là… Bref, je me fais descendre en moins de deux : autant dire que comme dans les précédents opus, la solution bourrine ne sera pas la plus simple. Me revoila donc au début pour un second essai, en suivant mon instinct cette fois-ci, bien plus probant. On retrouve le système de costume permettant de s’infiltrer plus facilement. J’émet cependant un léger doute sur l’IA qui commence à me soupçonner à 20 mètres alors que j’ai un costume de jardinier… Très (trop?) fort. On peut cependant s’en sortir en cachant son identité (47 fait en sorte de masquer son visage), et si un adversaire s’approche trop, on peut le désarmer et le prendre en otage. On note d’ailleurs ici le gain de souplesse phénoménal de l’agent, qui pourra également se déplacer sur des corniches par exemple. La variété des décors de ce niveau (les jardins, une serre, l’intérieur de la villa) nous a permis d’apprécier la qualité graphique du titre, autant sur les personnages que sur l’environnement.

Sans oublier l’instinct mode, un scénario qui donne envie, et bien sûr le plaisir de retrouver notre chauve tatoué préféré. Bref, ce petit aperçu n’a fait qu’accroitre mon impatience, bien que les conditions de test n’étaient pas optimales (pas de son, un gros mal de crane). Pour rappel, Hitman Absolution sortira le 20 novembre prochain sur PS3, X360 et PC !

Stand Hitman Absolution - Paris Games Week 2012

DmC - Paris Games Week 2012

DmC

Nous avons également pu mettre nos mimines sur le prochain Devil May Cry, astucieusement nommé DmC… D’ailleurs, “mettre nos mimines” est une bien grande expression, puisque notre essai a duré moins de 5 petites minutes. Juste le temps de défoncer quelques monstres et de se rendre compte que le jeu est le digne héritier de ses prédécesseurs. Peut-être un peu trop même, on a l’impression de rejouer aux précédents opus : on avance, un mur magique bloque le passage, on extermine tous les monstres de la salle pour ouvrir le chemin, et rebelote. Seule particularité de gameplay, les 2 gâchettes arrières permettent d’utiliser les modes ange ou démon. Modifiant les coups, et donnant une capacité assez rigolote : le mode démon permet de débloquer des attaches du décor, alors que le mode ange permet d’utiliser une sorte de grappin sur ces dernières… Je ne sais pas où ils sont aller chercher cette idée, mais je me suis franchement bien marré.

Pas de quoi s’enthousiasmer sur ce jeu pour ma part donc, trop banal pour susciter un quelconque intérêt. Il sortira le 15 janvier prochain sur PS3 et X360.

Stand Remember Me/DmC - Paris Games Week 2012

Remember Me - Paris Games Week 2012

Remember Me

Dans un petite pièce (avec les chaises les plus confortables du salon d’ailleurs) était présenté Remember Me, ou plutôt re-présenté, puisqu’il s’agissait d’un gars qui décrivait les 3 trailers déjà diffusés par Capcom. Rien de très spécial à dire donc, à part que le jeu a du potentiel, mélant un gameplay se rapprochant d’Assassin’s Creed, un ingénieux système de personnalisation des combos et des phases de réflexion sur le remodelage de la mémoire. Bien que ces dernières soient un point central du jeu, on peut craindre le fait que les solutions soient uniques, les rendant par la même bien moins intéressantes (vous comprendrez si vous avez vu le trailer).

Cette production du studio parisien Dontnod (où bosse des développeurs ayant participé à la série Splinter Cell ou Heavy Rain notamment) devrait être disponible en mai 2013 sur PS3, X360 et PC !

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Paris Games Week 2012 : Paris Hackathon /pgw2012-paris-games-week-paris-hackathon-2012/ /pgw2012-paris-games-week-paris-hackathon-2012/#comments Sat, 03 Nov 2012 09:00:32 +0000 /?p=6790

La semaine dernière nous nous sommes rendu au Paris Games Week, le salon du jeu vidéo de cette fin d’année. Ce fut pour nous l’occasion de tester tout plein de nouveaux jeux, la prochaine console de Nintendo, etc… Nous allons essayer de vous présenter un maximum des nouveautés que l’on a pu tester ou découvrir à travers plusieurs articles cette semaine.

Pour commencer, je vais vous parler d’une nouveauté : la première édition du concours Paris Hackathon organisé par le site de jeu en ligne king.com. Le principe est simple, créer en 23h le meilleur jeu vidéo possible en équipes de cinq personnes. Le lauréat verra son jeu édité par king.com. Pour cette première édition, les organisateurs ont eu du mal à choisir le gagnant puisque deux jeux se sont vraiment démarqués par leurs qualités. C’est finalement l’équipe de l’école ENJMIN qui remporte la compétition avec son jeu Blobz Rescue, suivie par l’équipe de SupInfoGame et son jeu Gold’n Cheese. Les deux jeux étaient présents sur le stand de king.com, on les a testé pour vous !

Blobz Rescue : Plein de petits « blobz » tout mignons de couleurs primaires se dirigent vers la bouche d’un vilain monstre. Votre mission : les sauver en les déplaçant dans des soucoupes volantes de la même couleur que le blob. Mais les soucoupes ne sont pas toujours de couleurs primaire, il faudra faire des mélanges de blobz pour pouvoir tous les sauver : un rouge et un bleu pour avoir un violet par exemple. Le but étant d’en sauver le plus pour avoir le meilleur score possible. Le jeu est déjà disponible sur internet.

Gold’n Cheese : Une petite souris au début d’un labyrinthe construit en plusieurs blocs, vous devez déplacer ces blocs pour que la souris puisse arriver jusqu’au bout du labyrinthe le tout en passant par le plus de bouts de fromage possible, qui vous rapporterons des points. Une fois le labyrinthe terminé, un second apparaît et ainsi de suite jusqu’à ce que la limite de temps soit écoulée. Le but étant d’aller le plus loin possible tout en récupérant le plus de points.

En bref, deux petits jeux bien sympathiques qui font appel à votre rapidité et à un peu de réflexion. C’est le genre de jeux auxquels on devient vite accro. Pour l’instant, seul Blobz Rescue va être édité et sera disponible sur smartphone et tablette. Quant à Gold’n Cheese, rien de sûr puisqu’il n’a pas d’éditeur (pour l’instant?). Enfin, encore un grand bravo au deux gagnants du 1er Paris Hackathon 2012 !

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[PGW2011] Paris Games Week – Notre premier salon /pgw2011-paris-games-week-notre-premier-salon/ /pgw2011-paris-games-week-notre-premier-salon/#comments Thu, 27 Oct 2011 20:02:15 +0000 /?p=2020 Bon commençons par le bon, puis je finirais sur un sacré coup de gueule qui m’a fait dans un sens, ne pas apprécier à sa juste valeur le salon dans son intégralité.
Déjà, comment dire, depuis l’ouverture du blog, c’est la première fois officiellement, que nous étions accrédités à un événement ! Et ça se fête, donc rien que pour ce point là, je tiens à remercier les organisateurs du PGW 2011. Je vais donc vous faire un bref topo de la soirée d’ouverture qui a eu lieu jeudi ainsi que de ce qu’allait vraiment être le PGW en période de grosse influence : le dimanche. Ce deuxième jour m’a permis de certifier les mauvais points du PGW plus qu’autre chose.

Donc me voilà arrivé au PGW en cette soirée du jeudi 20 octobre, est-il nécessaire de préciser que le salon était littéralement vide ? (En comparaison aux autres jours) J’ai pu ainsi profiter pleinement de 50% des éléments présents, pourquoi 50% ? Simplement à cause d’un grand nombre de square “VIP” et surtout mon autisme soudain face à tant d’accessibilité et d’ouverture. Mais dans les faits, j’ai dû testé beaucoup plus de jeux dimanche…

Déjà, hop, petit point perso, j’ai mis de coté tous type d’alcools servis, pour deux raisons : j’avais cours le lendemain, et autant profiter de manière lucide et objective des différents jeux présents. J’ai donc loupé le stand du Bargaming, mais c’est à charge de revanche !
Par contre juste un mot sur ce fameux stand, ce dernier était en fait situé sur celui de MO5, l’association du jeu retro, et cette dernière proposait de mettre face au joueur les consoles qui ont bâtis notre univers actuel ! Ainsi étaient mises à disposition des machines retros tells que l’Odyssey ou encore le plus connu, Pong.

Mais histoire de trancher dans le vif, je vais vous parler de mon premier coup de coeur du salon, enfin, à moitié, si le gars qui en faisait la présentation m’avait un peu moins pris pour un con, j’aurais sûrement pu totalement en profiter… Il devait sûrement essayer de gratter un maximum sur les 10 minutes qui nous été accordés…

Oui certains l’auront compris, je parle bien sûr de la PSVITA, la nouvelle console portable de SONY.
J’ai été impressionné par la maniabilité de la console, bon après, dur d’être objectif, j’ai les mains très… longues. Donc les deux écrans (le tactile arrière surtout) m’étaient facile d’accès. Et sur Little Big Planet…. Oui LBP, les deux écrans prennent totalement leurs sens, afin d’interagir avec les éléments du décor. Je n’ai pas pu tester un autre jeu, au moment où j’ai voulu mettre la main sur Uncharted, j’ai du l’abandonner avec tristesse à cause de cette foutue limite de temps.

Mon deuxième et dernier coup de coeur est… non, pas Battlefield, pas COD, ni même Skyrim (Bethesda, ne remet plus jamais un jeu comme ça en test sur une plate-forme autre que le PC!), il s’agit de Rayman Origins !

Depuis quelques années, le pauvre avait sombré au profit des lapins crétins, franchise beaucoup plus familiale, sur les devants de la scène d’Ubisoft. Mais ces derniers ont enfin décidés de remettre notre héros à gants sous le feu des projecteurs.
Et en y jouant c’est avec surprise que j’y ai retrouvé l’ambiance qui m’avait charmé sur Playstation 1 là où je l’avais découvert, énergique, avec un univers riche et surtout un gameplay super prenant.
De plus, notons le, il remet au goût du jour le mode co-op, allant jusqu’à 4 joueurs ! Mais sans pour autant tomber dans l’univers casual qui régie les jeux qui proposent ce type de mode de jeu.

Mais voilà venons en au fait qui fâche. Oublions les stands démesurés sans rapport direct avec le jeux-vidéo ou tout simplement BEAUCOUP trop grand et mal agencé. (Mais pourquoi la FNAC avait-elle un si grand stand?) Passons outre aussi l’absence de gros éditeurs comme Konami ou encore Square, visiblement le PGW n’a pas assez de crédit pour qu’ils daignent s’y déplacer, je ne sais pas si c’est d’ailleurs pire que ce qu’à fait le premier, Konami, avec son stand 3DS ridicule, proche du foutage de gueule.

Par contre ce qui est sûr, c’est qu’il y avait un gros problème d’organisation sur un point primordial de ce genre d’événement, le nettoyage ! Si jeudi en fin de soirée, tout avait l’air contrôlé, dimanche soir était un autre jeu, deux tiers du salon avaient été tapissés d’une nouvelle déco : le Tapis Coca.
Alors je suis d’accord qu’il en va d’abord de la responsabilité des visiteurs, mais l’absence de poubelles à des points stratégiques du salon ou des poubelles simplement trop petites et débordantes de détritus ont rapidement eux raison de la moralité des quelques personnes qui ont essayé de faire attention…

 

ps: je n’ai pas pu toucher au nouveau Zelda, la fermeture du salon (là par contre très bien organisé) m’en a empêché.

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