Bon commençons par le bon, puis je finirais sur un sacré coup de gueule qui m’a fait dans un sens, ne pas apprécier à sa juste valeur le salon dans son intégralité.
Déjà, comment dire, depuis l’ouverture du blog, c’est la première fois officiellement, que nous étions accrédités à un événement ! Et ça se fête, donc rien que pour ce point là, je tiens à remercier les organisateurs du PGW 2011. Je vais donc vous faire un bref topo de la soirée d’ouverture qui a eu lieu jeudi ainsi que de ce qu’allait vraiment être le PGW en période de grosse influence : le dimanche. Ce deuxième jour m’a permis de certifier les mauvais points du PGW plus qu’autre chose.

Donc me voilà arrivé au PGW en cette soirée du jeudi 20 octobre, est-il nécessaire de préciser que le salon était littéralement vide ? (En comparaison aux autres jours) J’ai pu ainsi profiter pleinement de 50% des éléments présents, pourquoi 50% ? Simplement à cause d’un grand nombre de square “VIP” et surtout mon autisme soudain face à tant d’accessibilité et d’ouverture. Mais dans les faits, j’ai dû testé beaucoup plus de jeux dimanche…

Déjà, hop, petit point perso, j’ai mis de coté tous type d’alcools servis, pour deux raisons : j’avais cours le lendemain, et autant profiter de manière lucide et objective des différents jeux présents. J’ai donc loupé le stand du Bargaming, mais c’est à charge de revanche !
Par contre juste un mot sur ce fameux stand, ce dernier était en fait situé sur celui de MO5, l’association du jeu retro, et cette dernière proposait de mettre face au joueur les consoles qui ont bâtis notre univers actuel ! Ainsi étaient mises à disposition des machines retros tells que l’Odyssey ou encore le plus connu, Pong.

Mais histoire de trancher dans le vif, je vais vous parler de mon premier coup de coeur du salon, enfin, à moitié, si le gars qui en faisait la présentation m’avait un peu moins pris pour un con, j’aurais sûrement pu totalement en profiter… Il devait sûrement essayer de gratter un maximum sur les 10 minutes qui nous été accordés…

Oui certains l’auront compris, je parle bien sûr de la PSVITA, la nouvelle console portable de SONY.
J’ai été impressionné par la maniabilité de la console, bon après, dur d’être objectif, j’ai les mains très… longues. Donc les deux écrans (le tactile arrière surtout) m’étaient facile d’accès. Et sur Little Big Planet…. Oui LBP, les deux écrans prennent totalement leurs sens, afin d’interagir avec les éléments du décor. Je n’ai pas pu tester un autre jeu, au moment où j’ai voulu mettre la main sur Uncharted, j’ai du l’abandonner avec tristesse à cause de cette foutue limite de temps.

Mon deuxième et dernier coup de coeur est… non, pas Battlefield, pas COD, ni même Skyrim (Bethesda, ne remet plus jamais un jeu comme ça en test sur une plate-forme autre que le PC!), il s’agit de Rayman Origins !

Depuis quelques années, le pauvre avait sombré au profit des lapins crétins, franchise beaucoup plus familiale, sur les devants de la scène d’Ubisoft. Mais ces derniers ont enfin décidés de remettre notre héros à gants sous le feu des projecteurs.
Et en y jouant c’est avec surprise que j’y ai retrouvé l’ambiance qui m’avait charmé sur Playstation 1 là où je l’avais découvert, énergique, avec un univers riche et surtout un gameplay super prenant.
De plus, notons le, il remet au goût du jour le mode co-op, allant jusqu’à 4 joueurs ! Mais sans pour autant tomber dans l’univers casual qui régie les jeux qui proposent ce type de mode de jeu.

Mais voilà venons en au fait qui fâche. Oublions les stands démesurés sans rapport direct avec le jeux-vidéo ou tout simplement BEAUCOUP trop grand et mal agencé. (Mais pourquoi la FNAC avait-elle un si grand stand?) Passons outre aussi l’absence de gros éditeurs comme Konami ou encore Square, visiblement le PGW n’a pas assez de crédit pour qu’ils daignent s’y déplacer, je ne sais pas si c’est d’ailleurs pire que ce qu’à fait le premier, Konami, avec son stand 3DS ridicule, proche du foutage de gueule.

Par contre ce qui est sûr, c’est qu’il y avait un gros problème d’organisation sur un point primordial de ce genre d’événement, le nettoyage ! Si jeudi en fin de soirée, tout avait l’air contrôlé, dimanche soir était un autre jeu, deux tiers du salon avaient été tapissés d’une nouvelle déco : le Tapis Coca.
Alors je suis d’accord qu’il en va d’abord de la responsabilité des visiteurs, mais l’absence de poubelles à des points stratégiques du salon ou des poubelles simplement trop petites et débordantes de détritus ont rapidement eux raison de la moralité des quelques personnes qui ont essayé de faire attention…

 

ps: je n’ai pas pu toucher au nouveau Zelda, la fermeture du salon (là par contre très bien organisé) m’en a empêché.