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Cette fois-ci après un petit concours cinéma goodies, voilà un concours jeux-vidéos, celui-ci n’est pas dédié à un jeu très connu mais à un jeu qui va sûrement percer car il est de la même trempe que Minecraft, et on sait tous Ô combien celui là s’en est bien sorti, surtout que notre jeu semble être directement dans l’héritage de Team Forteress.
Ce nouveau jeu, est nommé « Brick Force » free-to-play, encore une fois un jeu créatif, mais en plus, il s’agit d’un FPS.
Je vous laisse donc avec une petite vidéo afin que vous y voyez un peu plus clair sur ce concept assez étrange.
Le concours est accessible à tous et durera jusqu’au 28 Fevrier 16h le temps que nous puissions vous envoyer vos codes, la beta débutant le même jours à 18h. Il vous suffit de laisser votre réponse en commentaire.
Bonne chance à tous!
IP/Personne of course
]]>Vous vous réveillez après une belle cuite, le jour se lève, l’hotel de luxe dans lequel vous vous relaxez est plongé dans le silence. Alors que vous sortez de votre chambre, un être, informe, s’approche doucement de vous, puis soudain vous saute dessus pour vous mordre !
Voilà ce qu’est Dead Island, une ile paradisiaque coupée du monde… et pleine de zombies ! Mais la meilleure, c’est que vous semblez être immunisé face à cette dégénérescence qui touche toute l’ile. Alors forcément, vous devenez vite un objet de grande convoitise et cela principalement par un étrange personnage vous contactant quand l’envie lui prend par une radio…
Pour clarifier ce que j’avais brièvement annoncé dans l’intro, oui, ce jeu est dénué de tout scénario. Et quand il essaye de se relever, de faire preuve d’une étincelle d’intelligence, elle est vite brusquée et assénée sur le joueur de manière anarchique (notamment sur la fin du jeu).
Vous n’avez pas le temps de vous reposer un peu que les zombies vous retombent vite dessus, en fait, tout se passe beaucoup trop vite. On passe d’un lieu à un autre, d’une mission à une autre sans grande clarté et ne vous attendez pas à plus d’éclaircissement au fil du jeu… Rien, nada.
On ne s’attache pas non plus aux personnages secondaires, alors quand une scène dramatique arrive on se dit: “Okay. Et alors ? “
Sur le gameplay, Dead Island se révèle être une véritable perle, dynamique, addictif et fun, au début tout semble facile, on chope un truc et les zombies prennent cher. Puis on arrive dans la ville, et là, on comprend que ce n’était que du gâteau, une intro. Il y a des habitudes à prendre, les gros zombies débarquent, les “punks” commencent à vouloir votre peau.
Là tout le survival prend un nouveau sens. On récupère tout ce qui nous tombe sous la main, pas trop non plus ! Votre inventaire est limité, à vous de faire preuve d’intelligence, de ruse.
Pour vous aider un peu plus, on peu upgrader ses armes, voir même en créer de nouvelles avec les matériaux et le plan adéquats. Il s’agit des mods, et il y en a pour tout les goûts, feu, électricité et poison. Et autant pousser le vice jusqu’au bout dans la barbarie, cela avec le mode furie tout deviens rouge & blanc et selon le personnage que vous contrôlez votre pouvoir varie, mais au final, une seule débouchée : le carnage.
Face à vous, peu à peu, différents zombies arrivent, mais on en fait rapidement le tour, comptez environs 6 classes de zombies allant du petit zombie normal au zombies qui vous vomissent dessus, et ce n’est pas leurs skins peu nombreux qui se répètent jusqu’au bout du jeu (car ils respawns !) qui vont aider.
En parlant de ces zombies, ils ont la fâcheuse habitude d’être assez… buggés, ils leur arrive de se transformer en passe-murailles, traversant les portes pour vous atteindre. Ou sinon ils “s’envolent”, l’endroit le plus sur est le dessus d’une voiture, alors quand un zombie débarque dessus, et que 15 autre suivent: vous mourrez.
Ah aussi, petite précision, il ne s’agit pas réellement d’un FPS, le nombre d’armes de tirs étant tout simplement ultra-limité, vous vous battez plus généralement avec un batte, un couteau ou tout ce qui vous tombe sous la main.
Techniquement, le jeu n’est pas éblouissant, même si l’île de Banoï a tout pour être paradisiaque, que les zombies sont putridement réalistes et que l’ambiance est terriblement gore.
Et puis comme indiqué juste au dessus, on a à force l’impression de voir les mêmes zombies.
On a aussi le droit à un décor bourré d’aliasing à de nombreuses reprises.
Du coté du level design, il n’y a que 3 cartes, certes assez vastes mais visuellement assez pauvres et très banales, mais bon, on est généralement plus absorbé sur le fait de bastonner du zombie. Une autre vient s’y ajouter sur la fin du jeu… Mais celle-ci est totalement dénuée d’intérêt.
Mais bon à force de passer 5, 6 fois dans une zone que l’on a l’impression d’avoir déjà vue, déjà explorée (jusqu’aux moindre détails !), de revoir les même objets on est rapidement lassé. Et c’est véritablement dommage, car autrement l’ambiance de Dead Island est à en mourir, la mise en scène de certaines scènes et les quelques surprises que l’on trouve un peu partout sur cette île sont d’un gore !
Les zombies sont géniaux, et stressant parfois, avec leurs cris, mais c’est le seul vrai bon point de ce coté. Du coté des personnages, il n’y a presque aucun dialogue, votre personnage répète sans arrêt les mêmes choses à chaque début de mission.
Leurs rares dialogues durant les cinématiques sont doublés de manière bancale quitte à tomber dans les accents bien stéréotypés. Disons que ces éléments créent un petit coté vintage, tout cela parsemé de morceaux plus ou moins rythmés. Une bonne ambiance très série B.
Vous pouvez vous contenter de la quête principale, ou chercher le reste, c’est à dire tout plein de missions annexes, voir même chercher des crânes… Des crânes qui vous permettent d’accéder à des mods quasi surpuissants (avec un certain coût bien sur, 5 diamants et 10,000$).
Si vous faites simplement la quête principale, vous pouvez en avoir pour 15-20 heures. Si durant tout le jeu votre vrai ennemi est la difficulté, celle-ci s’envole avec le système de résurrection (contre quelques sousous) sur certains passages, exemple, face au “boss” final, vous pouvez mourir autant que nécessaire… jusqu’à sa mort, vous reviendrez toujours face à lui avec les dommages que vous lui avez précédemment infligés.
Au final, on éprouve un certain plaisir vicieux à jouer à Dead Island malgré ses défauts. Dégommer du zombie est diaboliquement décontractant. Ainsi, à petite dose le jeu est plus qu’agréable, mais sur la longue durée, les multiples défauts rattrapent vite l’expérience de jeu. | |
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Human Revolution est la préquelle de la série Deus Ex. L’action se déroule en 2027, dans la peau d’Adam Jensen, chef de la sécurité de Sarif Industries, une société basée à Detroit spécialisée dans la recherche sur les augmentations, sortes de prothèses permettant d’accroître les capacités de l’Homme : super-force, meilleure capacité de persuasion, camouflage optique, etc… Alors que Sarif Industries allait annoncer au monde une découverte qui allait révolutionner les augmentations, un petit groupe armé et augmenté attaque le QG de l’entreprise, kidnappe les scientifiques, et vous laisse sur le palier de la mort. David Sarif, votre patron, décide, pour vous sauver, de remplacer vos organes endommagés par des augmentations. A votre réveil, six mois plus tard, vous vous lancez à la recherche de ceux qui ont détruit votre vie, mais pour cela, vous devrez faire face à un complot d’une envergure que vous ne soupçonnez pas (enfin, maintenant que je vous l’ai dit, si..).
Deus Ex reprend la recette qui avait fait le succès du premier épisode : vous êtes libre d’accomplir vos missions de manière bourrine ou infiltration. Pour cela, le level-design vous offre moult passages (conduits d’aération, portes, fenêtres), mais les augmentations que vous choisirez vous aideront aussi. Vous pourrez ainsi obtenir un camouflage optique, la capacité de pirater les portes verrouillées et les PCs, une peau fortifiée pour mieux résister aux balles, etc…(mention spéciale à l’augmentation sociale qui vous permet d’avoir des infos psychologiques sur votre interlocuteur pour le persuader d’obéir à vos ordres). Ces augmentations sont achetées grâce à des points de dynamisation que vous gagnez à chaque niveau d’XP. L’expérience vous récompense pour à peu près tout, que ce soit pour avoir abattu un ennemi ou pour l’avoir assommé ou pour vous être infiltré sans être repéré. Cela vous permet de gagner des levels quelle que soit votre façon de jouer. Hormis ce système d’augmentation, le jeu est assez « classique » (attention, ça n’a rien de péjoratif), c’est un FPS avec l’originalité de passer à la troisième personne lorsque l’on se met à couvert et lors des éliminations au corps à corps. Seul véritable bémol au niveau du gameplay : l’IA. Certes, elle n’est pas catastrophique, mais elle fait vraiment tâche en comparaison du reste. En effet, si on prend le parti pris de jouer bourrin, qu’on tue 10 ennemis de manière pas vraiment discrète et qu’on se cache dans un conduit d’aération, au bout d’un certain temps, vos ennemis vont arrêter de vous chercher… Ça ne m’aurait sûrement pas gêné dans n’importe quel autre jeu, mais quand on atteint un tel niveau de qualité, le moindre petit défaut se voit très bien. De plus, on note avec satisfaction que l’équilibre du jeu est très bon, que l’on soit discret ou bourrin…..sauf contre les boss, qui sont totalement déséquilibrés : il peuvent être simplissimes ou quasi-imbattables (je vous laisse chercher quelques vidéos sur Youtube, c’est assez comique parfois…).
Techniquement, il y a du bon et du moins bon, et je commencerais par le bon. La bande son est vraiment réussie. La VO est vraiment de très bonne facture, les dialogues ne sont jamais ennuyeux ou mal joués. Quant aux musiques, elles collent parfaitement à l’univers, même la petite mélodie jouée avant l’ouverture du menu principale est très réussie ! En somme, que du bon côté audio. Maintenant, passons au moins bon. Graphiquement, c’est moins impressionnant. Loin de moi l’idée de dire que le jeu est moche, mais je m’attendais quand même à mieux pour un jeu de ce standing. Les animations et la qualité des textures laissent vraiment à désirer pour un jeu développé depuis plus de quatre ans… Pour finir sur un point positif, j’aimerais quand même saluer le boulot du studio sur l’ambiance cyberpunk du jeu qui est tout simplement exceptionnelle. Personnellement, le dernier jeu avec une ambiance aussi réussie auquel j’ai joué, c’est Assassin’s Creed. Autant dire que c’est un vrai point fort de ce Deus Ex.
Je ne vais pas tourner autour du pot très longtemps, Deus Ex : Human Revolution est une réussite presque totale. La qualité technique et l’IA l’empêche de s’élever au niveau de jeu culte, mais l’aventure reste exceptionnelle. Un jeu à posséder absolument ! | |
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Dans un futur proche, vous incarnez un soldat américain déployé au Tadjikistan, pays limitrophe de l’Afghanistan, pour endiguer un mouvement révolutionnaire local. Vous êtes le chef de l’équipe Bravo et vous devrez répondre à l’appel du devoir, aux côtés des équipes Alpha et Charlie sous le commandement d’un commandant dont j’ai oublié le nom, mais qui a, en VF en tout cas, les répliques les plus nulles que j’ai jamais entendu dans un jeu-vidéo… Plus insupportable, c’est pas possible. Enfin bref, au bout de quelques missions, le conflit va prendre de l’ampleur avec l’arrivée de l’armée chinoise pour s’opposer aux Etats-Unis. Mais bon, comme pourrait dire votre commandant, « c’est pas une bande de bouffeurs de riz qui va vaincre les Marines !« . Ce scénario sert vraiment l’aspect réaliste du jeu puisqu’il l’est lui aussi : pas de turn-overs intempestifs comme dans les super productions hollywoodiennes, et c’est pas plus mal. Le jeu est découpé en 10 missions qui dureront, selon la difficulté, entre 30 minutes et 1h30 chacune.
A ce niveau, je suis un peu, comment dire, partagé. En effet, le contrôle de votre personnage est plutôt souple, on ne rencontre que très peu de soucis de ce côté là, hormis lors du passage sur des murets, où l’action contextuelle peine parfois à s’exécuter… Mais le truc qui me pose vraiment problème, c’est vos coéquipiers. Parce que s’il y a une chose qui n’est vraiment pas réaliste, c’est leur intelligence. Un sens du combat et de la survie proche du néant et des réactions franchement douteuses pour des soldats. Honnêtement, ça fait peur. Petit exemple qui arrive plutôt souvent : vous demandez à un de vos gars de se placer à couvert derrière un mur, et lui, logiquement, va se placer à côté du mur, de manière à être parfaitement dans la ligne de visée de vos ennemis, croyant naïvement qu’il pourrait échapper à la mort de cette manière, sauf que non. /*Et là, attention les mirettes, transition qui tue.*/ Donc, pour pallier à toutes ces balles que se prendront vos partenaires grâce à l’IA, vous pourrez les soigner (vous aussi d’ailleurs) à volonté. Et là, on s’écarte quand même du postulat de départ : le réalisme. Parce que bon, je suis pas médecin, mais je suis pas sûr qu’on puisse prendre une dizaine de balles dans le corps en moins de dix minutes et survivre sous prétexte qu’on a fait un joli pansement… Ce choix irréaliste est d’autant plus étrange puisque Codemasters nous laisse le choix de désactiver un certain nombre d’aides (indicateur d’ennemis, réticule, map…) pour augmenter le réalisme.
Graphiquement, comme le montre l’image ci-dessous, c’est pas vraiment glorieux, je ne vais donc pas m’attarder dessus pendant 10 minutes. Les visages portent à sourire, l’aliasing est omniprésent, les textures ne sont pas d’une qualité exceptionnelles, etc… On remarque aussi du clipping ça et là. Grosso modo, le jeu a quelques années de retard techniquement. Au niveau de la bande son, les bruitages sont réussis. Par contre, le reste, moins. En VF en tout cas, les dialogues sont vraiment une grotesque caricature de virils soldats américains qui vont apporter la paix et la démocratie dans le monde, et patati et patata. De plus, il manque carrément certaines phrases qui n’apparaissent qu’en sous-titres, et ça, c’est quand même très grave.
Operation Flashpoint Red River réussi le pari de simplifier la simulation de guerre pour l’ouvrir au grand public. Cependant, les trop nombreuses lacunes techniques gâchent un jeu qui aurait vraiment pu être très bon. | |
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Mais Portal 2 reste un Portal et ne peut donc s’éloigner trop des mécanisme qui ont fait le succés de son grand frère.
L’équipe de Valve n’avait donc qu’une unique solution, nous servir sur un plateau d’argent un scénar en béton et des personnages tous aussi charismatiques que GLaDOS.
Tout d’abord, pour rester dans la continuité du premier volet, on se retrouve de nouveau dans la peau de l’héroine qui a le moins de dialogue dans toute l’histoire du jeu vidéo (à savoir 0), la mystérieuse Chell!
Sans vous en dire trop, car la moindre bribe de scénario dévoilée deviendrait un spoil monstre, je peux vous dire qu’à la manière de sa conception globale, le jeu excelle dans son scénario, il est rythmé, très bien coordonné et simplement génial. Cette fois-ci on voyage à travers tous les locaux d’Aperture Science.
Comme la plupart on pu le revoir à travers la vidéo et le fameux “it’s been a loongg time, how have you been?” GLaDOS est de retour, mais cette fois si accompagné d’un petit “homme” nommé Weathley. On en découvre aussi un peu plus sur les origines de l’étrange entreprise qu’est Aperture.
Portal 2 excelle aussi sur un autre point, l’humour, mais pas n’importe lequel, l’humour noir. La totalité des dialogues est juste mémorable par son ingéniosité et son coté complètement barré en fait, par la même occasion, que le jeu est bourré de clins d’oeil du début à la fin!
Portal est Portal, on garde donc le principe des deux portails, un pour entrer, l’autre pour sortir.
Avec cela on ne va pas dire que pour l’instant il brille par son originalité, mais la réflexion est là! La complexité est croissante et heureusement, tout le jeu ne se résume pas à ouvrir, fermer, passer, ouvrir fermer, passer.
Il faut noter deux nouveautés, des gels ainsi que des “chemins”, les premiers abordant plusieurs propriétés (rebond, vitesse ou faculté à former des portails) et les seconds se rapprochent soit d’un sas anti-gravitationnel soit d’un chemin pratiquable à la marche.
Si globalement on peut faire la totalité du jeu tranquillement sans se brusquer, certaines parties font parfois appel à certain reflexes, vous imposant de créer des portails à la seconde afin d’enchaîner un déplacement sous peine de se retrouver bloquer.
Mais LE point génial, c’est d’avoir enfin un multi intelligent, on ne va pas se taper dessus ou s’envoyer des portails à la tronche (quoi que ça aurait pu être jouissif) .
Tout se joue sur la coopération pure et dure, pour cela, différents outils de communications simples et pratiques sont mis à votre disposition. Vous voulez demander à votre partenaire d’ouvrir un portail à tel endroit? Lui demander de se positionner à un autre? Rien de plus simple, visez la zone, appuyez sur la touche correspondante et une roue d’option s’ouvre à vous. Vive le travail d’équipe!
Bon soyons franc, le fait que Valve ait la manie de recycler ce même moteur depuis Half-Life ou récement Left 4 Dead 2 commence à peser sur la qualité visuelle de ses titres.
Parce qu’à coté, on a une architecture plus qu’épurée, tout en restant complexe, des salles qui certes se ressemblent un peu, mais un gros effort visuel tout de même!
On découvre même les plus sombres recoins d’Aperture Science, à savoir les sous-sols… Mais je vous laisse les découvrir en détail héhé.
Pas de nouveaux ennemis par contre, dommage, seule les petites tourelles solitaires nous portent compagnie.
GLaDOS elle n’a pas changé (pour le peu que l’on voit Chell, elle non plus), la nouveauté au niveau du chara-design se situe du coté de son compère Weathley et des deux robots qui viennent agrémenter le multi du jeu.
La conception de ces différents robots est plaisante, réfléchie et originale. Imaginer ses robots complètement dérangés être parmi nous me fou carrément les jetons!
De nouveau, la version française est de très bonne qualitée et les personnages sont dotés du charisme unique “portalien”, la version orignale reste à des années lumières qualitativement.
Weathley est dans la continuité de GLaDOS, sa voix est représentative de son caractère… un parfait ______ (no spoil! A vous de choisir le terme).
Et la bande son, toujours avec ce coté synthé, mais pas non plus pour autant agressive, elle est agréable à l’écoute. On a la joie de retrouver de nouveau Jonathan Coulton sur l’ending.
Il m’a fallu a peu près entre 8 et 9h pour finir le jeu, absence de niveau de difficulté, quoi de plus normal. On peut s’y replonger agréablement, mais pas trop de fois non plus. Le soucis étant qu’une fois qu’on connaît la solution de chaque puzzle, le challenge n’est plus…
Mais rien que pour la trame… rien que l’esprit du jeu, y rejouer ne vous fera pas de mal! Enfin si un peu.. vous risquez de dégénérer un peu…
Il faudra vous tourner vers un ami si vous voulez réellement rallonger la durée de vie, le mode co-op offrant une nouvelle dimension au jeu.
Portal 2 est, un must have, un monument vidéo-ludique. Complétement décalé et à l’ambiance simplement atypique, il offre un peu de douceur (à la forte poigne) au sein des shooters de notre génération. Jeu à se procurer! Et il n’y a vraiment aucune excuse pour ne pas y jouer, ou alors vous ne concevrez jamais la réelle étendue du pouvoir d’une…. patate. |
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Ce nouveau FPS multijoueur est donc, comme son nom l’indique à peine, gratuit. Après une rapide inscription, vous aurez accès au téléchargement du jeu (plutôt rapide) et vous pourrez y accéder directement depuis le site officiel en cliquant sur un gros bouton Play now.
On vous proposera tout de suite de créer un soldat en choisissant sa tronche (avec peu de choix d’ailleurs) et le plus important, sa classe. Vous aurez le choix entre quatre classes de soldat : le Assault, le soldat de base qui sera en première ligne, le Medic, capable à la fois d’attaquer et de soigner ses camarades, le Engineer, qui pourra quant à lui réparer les véhicules mais aussi les détruire (vive le lance roquettes !), et enfin, le Recon, plus communément appelé sniper, capable lui de, bah, de sniper…
Chaque classe permettra d’ailleurs d’accéder à des compétences, particulières ou non, comme lâcher une grenade en mourant ou apprendre à piloter un hélicoptère… Ces compétences sont accessibles en gagnant des niveaux à force de persevérence et de frags.
Le gameplay est, quant à lui, sans surprise si vous avez déjà goûter à un Battlefield. C’est maniable, c’est nerveux, en gros, c’est bien. Ajoutez à cela les quelques véhicules terrestres et aériens pour pimentez les parties et vous obtenez un bon FPS, et qui plus est, il est gratuit. Mais le problème du jeu vient peut-être de là… Je m’explique. Comme il faut pas rêver non plus, EA va pas faire un jeu qui ne va rien lui rapporter…
Alors, comme pour Battlefield Heroes, un système de micro-transactions a été mis en place pour fournir armes et gadgets aux joueurs prêts à débourser quelques deniers. Et c’est là qu’est le premier “défaut” du jeu : on se sent parfois volé à cause du déséquilibre de certaines armes payantes très, voire trop, efficaces. Le second défaut du jeu, c’est son contenu : seules 3 maps sont disponibles pour le moment, et un seul mode de jeu, qui consiste en une capture de positions, où seule la tenue de celles-ci influe sur le score (pas les frags donc).
Pour conclure ce quick test (qui n’est d’ailleurs pas si quick que ça…), je dirai que Battlefield Play4Free nous offre de très belles promesses mais il a encore beaucoup à prouver, notamment au niveau du contenu, pour essayer de se faire une place sur la durée auprès des gamers pauvres et moins pauvres, surtout que l’arrivée prochaine de Battlefield 3 risque de lui voler la vedette, même à 60 euros… | |
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L’aventure se déroule plus ou moins directement après le second volet (j’éclaircirais ensuite). [ DEBUT DU SPOIL ] L’antre de Visari a été assiégé et votre ami Rico a tué le bonhomme, [ FIN DU SPOIL ] c’est à partir de là que débute l’histoire de Killzone 3.
Au premier abord, c’est confus, vous alternez différentes phases espacées de 6 mois d’écarts, d’où le petit point négatif suivant : faire le coup de commencer plus loin dans l’histoire, pour revenir dans le passé ensuite ok, mais quand on rejoue cette même scène et qu’elle se déroule autrement, ça c’est moins cool.
Mais cette confusion devient en fait assez intéressante sur le plan narratif lors de certains passages, améliorant l’immersion du joueur dans cet univers.
Mais très franchement, on ne retrouve pas le même style que les précédents Killzone, alterner différents types de plateau, pourquoi pas. C’est devenu presque nécessaire actuellement pour montrer qu’un jeu est diversifié au détriment d’un scénario léger, mais Guerilla Games aurait pu faire ici beaucoup mieux.
Je ne vous parle même pas de la fin… Qui vous laissera je pense aussi perplexe que la fin du précédent opus.
Le gameplay de base reste le même, on sent la patte Killzone, les mouvements sont imprégnés par le poids de notre matériel, rendant le tout forcément réaliste, pas de déplacements aberrants de tour sur soi-même à la vitesse de Flash.
La vrai nouveauté réside dans le Jetpack, une véritable boucherie portative, une fois essayé impossible de s’en séparer, il devient votre joujou favoris. Mais je vous arrête tout de suite, vos premiers vols seront sûrement casse-gueule et même après plusieurs essais, il est dur de les manier de la même manière que les méchants Hellgast.
En parlant de Hellgast, pas de grosse surprise, Stahl n’a pas eu le temps de mettre à jour sa garde robe, on retrouve donc les mêmes troufions (du sniper au guerillero) et pseudo-boss. On a juste en plus la garde rapprochée du bonhomme qui s’approche plus du berserker que d’autre chose.
Par contre je peux vous assurer qu’au moins un boss vous impressionnera au moins par sa taille.
Le gros défaut vient sans doute du fait que l’on trouve un peu partout des caisses de munitions, mais vraiment en grande quantité, donc je n’ai jamais été préoccupé une seule seconde par celles-ci.
Pour continuer dans la banalité du FPS, incorporant un paquet de véhicules plus ou moins contrôlés, si le Mécha est vraiment extraordinaire et réussi, ce n’est pas le cas pour les passages en véhicules plus communs, souvent casse-gueule, dans lesquels on meurt sans trop comprendre pourquoi.
C’est bweau…. Non plus sérieusement, Killzone 3 est vraiment un jeu qui n’a rien à démontrer de ce côté là, on sait d’avance que l’on va avoir le droit à une bonne bouffée d’air frais.. Enfin plutôt une belle claque.
Chaque décor à le mérite d’être totalement unique et de disposer de son propre éco-système/orginalité, l’on découvre peu à peu à chaque nouvelle partie du jeu de nouveaux décors, de nouveaux univers (un peu à la manière de Sucker Punch).
La forêt est sans doute l’un des environnements les plus marquants, elle vit littéralement autour de nous.
La globalité du jeu durant les phases in-game est d’une fluidité assez époustouflante malgré leur complexité (on a souvent un arrière plan situé à des km du premier plan).
Les cinématiques? Faut-il vraiment en parler, que ce soit l’expression sur les visages, la carrure des personnages (avec un Stahl faisant de plus en plus penser au Joker par ses mimiques).
Par contre, parfois la séparation bien/mal est un peu abusée, certains véhicules voient la couleur qui les affublent changer et passer du méchant rouge au gentil bleu 8D.
Ce qu’il y a d’extra avec Killzone 3, c’est que la langue principale peut-être choisie directement dans le menu des options, donc avis aux amateurs de jeux en VO ! Par contre, si vous activez les sous-titres, vous n’aurez que les sous-titres de la langue sélectionnée.
Les doublages français ne sont pas si désagréables que ça, mais certains décalages entre les paroles et les gestes des personnages sont tout de même à noter, et sont parfois même très flagrants.
La bande son est vraiment très sympathique, par contre j’ai l’impression qu’ils ont repris certains morceaux du précédent volet, peut-être dans un souci de continuité.
Epic fail à relever : dans un certain morceau, vous reconnaîtrez sûrement un rythme très connu du monde du cinéma.
Le gros atout de Killzone 3 est sûrement d’intégrer enfin un mode coop’ (oui maintenant ne pas en avoir est devenu normal). Mais malheureusement, le solo se boucle vite… trop vite. Comptez simplement 6 à 7h sans plus pour boucler entièrement la campagne en mode normal.
Concernant le mode multijoueurs, il y a seulement 4 modes de jeu. Ces derniers sont assez jouissifs, même si il était très dur d’arriver à rejoindre une partie (sauf depuis les patchs). On retrouve les différentes classes présentes dans Killzone 2, chacune ayant une caractéristique spéciale.
Les niveaux s’enchaînent plutôt rapidement. On débloque des points au fur et a mesure qu’on augmente de niveau, ce qui permet d’acheter des améliorations pour les classes.
Killzone 3 a de très bon atouts dans sa manche, assez pour en faire un incontournable du genre sur PS3, mais voilà, malgré de nombreux efforts, l’impact de ses concurrents se fait sentir sur le jeu. En essayant d’en faire trop, il se dénature, perd de son originalité, mais reste un très bon jeu. Maintenant il faut espérer que le prochain volet fera abstraction de la concurrence afin de nous offrir la surprise que tout le monde attend. (Ne possédant pas le Move, je ne peux vous donner d’avis dessus malheureusement). |
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Call of Duty Black OPS est développé par Treyarch, oui Treyarch (je vous vois venir mes amis). Si les différents volets se succèdent déjà sans grand interêt, World at War, développé par Treyarch, fut l’échec de la série New Gen (ils avaient tout de même deux fois moins de temps que Infinity Ward pour le développer).
Mais pourquoi ne pas leur donner une nouvelle chance? Et puis maintenant de toute manière Infinity Ward n’existant plus, vous allez devoir vous en accommoder. Mais qu’en est-il réellement?
Je dois avouer avoir été surpris par le scénario, attention je ne dis pas qu’il n’est pas totalement extravagant et improbable, mais il reste une bonne surprise.
Treyarch a décidé de jouer ici la carte du style hollywoodien, le jeu regorge donc de nombreux easter eggs et autres références au milieu cinématographique, que ce soit par les scènes ou par les dialogues.
Tel l’une de ces grosses productions, il faut avant tout vous en mettre plein les mirettes, le jeu mise donc entièrement sur sa mise en scène et son dynamisme, mais malheureusement, les deux ne sont pas équilibrés.
On se retrouve ainsi avec des explosions dans tous les sens, seul contre tous la plupart du temps, on se croirait presque dans Rambo 3! Les différentes zones s’enchaînent parfois sans trop de cohérence, trop rapidement, et les rares missions d’infiltrations finissent elles aussi dans un gros bordel.
J’oubliais, on incarne durant le jeu un soldat nommé Mason. Enfin incarner est un grand mot, on revit plutôt chacun des ses flashbacks ponctués d’interrogatoires afin de comprendre la signification des “nombres” que l’on voit tout au long du jeu.
Globalement, Treyarch innove de nouveau : graphiquement le jeu est légèrement plus peaufiné que ses prédécesseurs qui avaient pris l’habitude de se reposer sur le moteur du volet, donc aucune vraie progression depuis Call of Duty : Modern Warfare. Les personnages sont dotés d’un charisme certain (particulièrement notre cher russe déjanté Reznov, déjà présent dans Word At War).
Mais avouons le, si la plupart des décors sont variés, riches et très immersifs, certaines textures manquent très franchement de finesse.. En bref, il serait temps de changer de moteur graphique.
Que dire de plus? Les mises en scènes sont magnifiques, les couleurs naturelles, non, rien à reprocher de ce point de vue là.
Encore une fois rien de bien innovant, on avance, on tire, on shoot, on fait des headshots et ainsi va la vie.
La nouveauté vraiment fun vient des véhicules. Eh oui, bonjour aux machines en tout genres! Motos, voitures, helico, blackbirds… Batailles d’hélico, de bateaux, y a pas à dire, c’est assez fun.
On retrouve nos repères dans les armes, quoi que certaines… sont… pour le moins étranges. Mais quoi de plus agréable que son petit AK ou l’Uzi du vendredi soir?
Le vrai point noir, je dirais gros gros point noir carrément, c’est le côté hypra directif du gampeplay, vous êtes totalement assisté la plupart du temps: exemple extrême, vous devez traîner des méchants cocos à un moment et le jeu vous impose totalement la trajectoire et même l’angle de vue! Pourquoi il me fait ça? Moi qui voulait me promener dans toute la base avec un corps en marchant à deux à l’heure.
Enfin, courir et se plaquer au sol ça a l’air con dit comme ça mais c’est géant! 8D
Comme dit précedemment, l’accent est mis sur le coté hollywoodien du jeu, alors autant aller jusqu’au bout! Pourquoi ne pas avoir repris Hans Zimmer qui fait du très bon travail? Au final, le titre nous présente une bande son assez énergique, mais qui passe rapidement en arrière plan sous les tirs et les coups de feux multiples. Dommage. On notera tout de même des reprises du rock de l’époque comme que Sympathy for the devil, pourquoi pas après tout? Mais le moment où le titre passe reste peut être un peu étrange. (paralléllisme entre les Rolling Stones et un massacre… pas sûr :
Autre point, je ne sais pas si ça ne concerne que moi mais la mise à niveau du son, merde! On loupe une grosse partie du scénario à cause de ça! Le son diminue soudainement durant certaines cinématiques et les doublages français sont… décalés à certains moment.
Ah.. Si seulement tu avais un homologue français Gary Oldman, quel rêve ce serait…
Je vais faire ce point en deux parties,
La première, le hors multi, ce que nous appellons couramment le solo, complètement délaissé de nos jours par les développeurs de FPS (c’est pas parcequ’on a pas la même profondeur qu’un RPG qu’il ne faut pas essayer de faire pareil.)
On en a donc pour 6h en seconde classe…La “moyenne” donc :/, un peu plus pour le mode vétéran parce que vous passerez beaucoup de temps à vous faire déssouder la tronche.
Concernant le multi que dire, soyons franc, beaucoup de joueurs achètent le jeu uniquement pour le multi. Pour passer de longues et interminables heures seul ou en “famille”.
Black Ops instaure un nouveau système, le système de C$D. Comment vous expliquez ça simplement, vous progressez, vous gagnez de l’expérience et du cash avec lequel vous pouvez acheter des armes, des accessoires, des atouts. Tout en fait ! Vous ne débloquez plus rien automatiquement, à vous d’être organisé.
On a une quantité imposante de modes de jeu, dont le nouveau mode : Les Matchs a paris, si vous êtes un joueur de CS vous ne serez pas dépaysé, pour les autres, je vous laisse découvrir ses différents modes assez fun.
Call of Duty Black OPS a le mérite d’être un FPS bien fun, intéressant sur plusieurs points et nous fera passer sans aucun doute du bon temps! Maintenant il ne reste plus qu’à corriger les défauts datant de Call of 4. |
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Vous voici de nouveau à Rapture, mais cette fois-ci 10 ans après le passage du premier héros et la mort d’Andrew Ryan. Rapture la ville déjà folle n’a alors pas cessé de se décomposer, les habitants se sont putréfiés durant ces longues années et les Petites Soeurs ont laissé leur place aux Grandes Soeurs. Après une cinématique des plus émotives, vous incarnez le personnage de Delta, seul Big Daddy de la première génération qui n’ait pas perdu la raison. Mais voilà : la Petite Soeur que vous deviez protéger et sur laquelle vous deviez veiller s’est faite enlever. Vous vous retrouvez donc à arpenter les sentiers de Rapture, désorienté et sans but.
Les personnages d’Andrew Ryan et Fontaine n’étant plus, il fallait, pour 2K, trouver un ou plusieurs nouveaux personnages tout aussi voire plus charismatiques qu’eux : j’ai nommé notamment Sophia Lamb.
Malgré certaines réticences de fans concernant la qualité et la réussite de ce volet, on peut se risquer à dire que Bioshock 2 a eu le mérité de nous offrir un scénario presque aussi spectaculaire que celui de son prédécesseur.
Bioshock 2 ré-utilise le moteur graphique du premier volet. Une méthode efficace et rapide mais qui, forcément, n’est pas totalement au goût du jour. Cependant, et il faut voir le bon côté des choses, la ville de Rapture a conservé son atmosphère perfide et souillée. Le tempérament de ses habitants a été retravaillé de manière à ce qu’ils perdent les dernières caractéristiques humaines qu’il leur restait cause à de l’Adam, devenu une ressource de plus en plus prisée et coûteuse. Les autres personnages que vous rencontrerez au fil de votre aventure ont aussi été travaillés : les longues années de labeur a essayer de se protéger des Chrosômes ou d’eux même est imprimé sur leurs visages.
La modélisation des lieux, elle, n’a rien à envier aux autres jeux et loin de là. Si ce n’est un léger aliasing sur certaines formes, l’ambiance graphique et les décors sont tout simplement splendides, et l’on retrouve encore une fois la griffe si représentative de Rapture.
Que dire de la bande son? La musique d’ambiance est exquise, rien ne cloche, on se sent vraiment dans une autre époque, dans une utopie musicale. Les bruitages continuent dans le même sens : agréables et réalistes.
L’immersion est totale. On se prend parfois à se sentir réellement dans son petit scaphandre et à arpenter Rapture à l’intérieur.
Les rares musiques présentes sont celles des vielles années vintage et sont très agréables à écouter.
Le fait d’incarner un Big Daddy entraîne son lot d’avantages mais aussi sont lot d’inconvénients : La semi-lenteur du Daddy entre autres (eh oui porter un gros scaphandre c’est lourd et pas forcément génial), mais le temps d’adaptation à cette nouvelle contrainte est relativement court et on s’y adapte très rapidement!
À coté de cela, il n’y a rien de particulier à reprocher au gameplay. Les développeurs ont eu la bonne idée dans cet épisode de vous permettre d’utiliser vos deux mains simultanément, l’une pour les plasmides et l’autre pour vos diverses armes. L’IA ne cessera pas de vous poser problème et vous resterez la plupart de votre temps sur vos gardes.
Le tout est très bien équilibré entre combats acharnés et voyages dans Rapture.
La campagne est addictive : vous en aurez pour 8 à 10 bonnes heures en mode normal, les différentes options du soft vous permettant aussi d’allonger cette durée en augmentant la difficulté (désactiver les vita-chambres, la flèche de quêtes, etc.).
Vous pourrez ensuite vous atteler au mode multijoueurs, qui fait ses heureux et ses déçus, mais qui a l’énorme avantage d’être un bon défouloir.
Malgré les peurs et appréhensions concernant ce titre, Big Daddy parvient à nous faire vivre un aventure merveilleuse, voire menaçante au sein de Rapture. Son scénario et son ambiance nous font oublier les quelques défauts qui se posent de temps en temps. Bioshock 2 se place donc dans la lignée de son prédécesseur comme un chef-d’œuvre vidéo-ludique qui en impressionnera plus d’un. Et même si la suite nous fera quitter la digne Rapture, c’est sans regret que l’on abandonne cette cité pour nous tourner vers le prochain volet. |
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Scénario? Quel scénario?! On a vraiment du mal à comprendre le but, le jeu étant un enchaînement de quêtes proposées par des PNJ un peu partout dans le monde de Borderlands. La seule chose de sûre, c’est que l’on a le choix au début de l’aventure entre 4 personnages ayant chacun leurs propres capacités : chasseur, bourrin, discret, …A noter la présence d’une seule femme dans cette équipe ( mais où est l’équité, bordel ?! )
On a là une réalisation assez atypique, puisque tout le jeu est réalisé en Cell-shading. Ce rendu peu faire trépasser certains réticents à cette technique, mais elle offre globalement un rendu vraiment sympathique à l’écran..
L’univers nous propose de très grandes cartes de jeu (trop grandes?) et l’on regrette qu’il n’y ait pas assez de transporteurs d’un point à un autre.
Borderlands nous propose un arsenal d’armes très vaste et un bestiaire bien fourni (SKAG !)
Du côté de l’inventaire, c’est clairement un gros bordel et l’on a bien du mal à s’y retrouver, entre ce qui est équipé, ce qui est inutilisable, ou encore le nombre de balles que l’on a pour chaque arme. Il en est donc de même pour ce qui est de trouver (ou vendre) son bonheur dans les magasins.
Et, le plus important si vous voulez progresser : il faut absolument booster son personnage, sous peine de ne pas avancer !
Rien de transcendent en ce qui concerne les musiques , elles ne sont pas envahissantes et s’adaptent bien à chaque situation dans laquelle on se trouve. Malheureusement, les bruitages (principalement ceux des armes) sont assez mauvais : on n’a pas l’impression d’utiliser un fusil sniper, mais de tirer avec un ridicule pistolet à billes…
La multitude de quêtes et les parties entre potes nous promettent de longues heures de jeu! A cela s’ajoute la collection des trophées, ce qui n’est pas rien en soi.
Passé un peu inaperçu, Borderlands est pourtant un jeu totalement déjanté qui nous offre de nombreuses heures de jeu, que ce soit en solo ou entre amis. On retient surtout des graphismes vraiment agréables et du bestiau à foison. Mais on essaye de s’inventer un scénario et des bruitages! Bref, une bonne surprise générale ! |