Maintenant que mes examens sont totalement finis, le rythme du perso de la semaine devrait redevenir hebdomadaire. En cette semaine de fêtes, nous allons nous intéresser à un ignoble personnage, qui exploite des animaux sauvages, hait ses parents, et met sa casquette à l’envers !

Il s’agit bien sûr de Red :

Red, le dresseur Pokémon

Pour Noël, j’ai décidé de choisir un personnage qui plait aux enfants, le dresseur Pokémon. Mais je vais essayer de vous dresser (sans jeu de mot) son véritable portrait. Pas celui que Nintendo nous montre, pas celui du gentil et courageux garçon qui aime ses Pokémons. Parce que si l’on regarde bien, Red, c’est quand même un ado, qui a au plus 15 ans, qui quitte sa maison, on village, pour parcourir le monde seul avec un petit animal qu’il aura choisi chez un scientifique fou… Sans vouloir accabler sa pauvre mère, visiblement abandonnée par un mari trop alcoolisé pour se rendre compte qu’il avait un fils, laisser un enfant de cet âge partir à l’aventure à travers le monde me paraît assez limite niveau éducation (faudrait demander l’avis de l’association Familles de France sur ce point…).

Les Pokesclaves de Red

Non content de fuguer du domicile familial, Red pratique également l’esclavage ! Parce que de là où je viens, capturer des êtres vivants qui n’ont rien demander pour les faire bosser (combattre dans ce cas) de manière contrainte et sans salaire, ça s’appelle de l’esclavagisme. Soit dit en passant, je me suis toujours demandé comment un Pokémon sauvage que tu viens de défoncer, après avoir lutter pour ne pas être capturé dans ta pokéball, deviens ton pote aussitôt que celle-ci fais clic… Enfin bref, pour finir cet article, je tiens tout de même à tirer mon chapeau à Nintendo qui, à travers ces Pokémons tout mignons, a réussi à remettre la jeunesse (moi y compris) dans la pratique de l’esclavage et du gladiateurisme (pas sûr que ça existe comme mot, mais vous m’avez compris …) sans que personne ne s’en rende compte, et ça, c’est très très fort.

Sur ce, je vous souhaite un joyeux Noël (en retard) et une bonne année (en avance).